RSE et Réglementation : CSRD, Taxonomie verte, Pacte vert, tout comprendre avec Joachim

CSRD, Taxonomie verte, Pacte vert, est-ce que vous aussi, vous naviguez en eaux troubles depuis quelques mois face à la réglementation RSE ? 

Car oui, la réglementation, notamment européenne, tend à pousser les entreprises à aller toujours plus loin, mais sans leur simplifier la vie. Et c’est assez notable dans le domaine de la RSE.

Mais heureusement, parmi les personnes qui gravitent autour de CAUSE, il y a Joachim Lémeri. Joachim est un personnage aussi passionnant que passionné. Un expert qui nous fait le plaisir de nous livrer ses éclairages sur la réglementation de la RSE et ce qu’elle implique pour toutes les entreprises. 

Dans cet article-interview, nous avons donc souhaité vous présenter Joachim, ses engagements, sa vision et son lien avec CAUSE, depuis l’inside et les coulisses.

C’est parti, place à l’artiste ! 

Son parcours : une traversée des enjeux environnementaux et sociétaux de grands groupes du BTP

Joachim est une personne atypique, navigant depuis 20 ans dans le monde des grandes entreprises de la construction, avec un parcours qui ne lui prédisait pas ce cursus.

Littéraire de formation, il tombe dans la marmite des sciences exactes un peu par hasard et devient géomorphologue. Et c’est en poursuivant dans la géographie environnementale qu’il entre dans le monde de l’aménagement du territoire, et débute dans l’ingénierie des infrastructures, en réalisant des études d’impact environnemental.

Après quelques années de formation “sur le tas”, Joachim rejoint Eiffage, groupe de BTP français, avec pour mission d’internaliser l’ingénierie environnementale au sein du groupe. Dans la division travaux publics, il travaille sur des grands projets d’infrastructures en France et à l’international.

De fil en aiguille, Joachim creuse son sillon jusqu’à monter au “corporate” au cœur de la direction du développement durable, où une toute petite équipe avait été constituée dès 2005, notamment pour répondre aux obligations de reporting extra-financier liées à la loi NRE. En effet, c’est à cette époque que les agences de notation extra-financière commencent à sérieusement bousculer les entreprises, pour qu’elles évoluent vers plus de durabilité.

Son défi personnel : d’une direction de l’environnement corporate à une direction opérationnelle

Quand il arrive dans cette direction, Joachim n’a qu’une idée en tête : faire passer le sujet Développement Durable à une autre échelle chez Eiffage, d’un mode opératoire très corporate et basé sur le reporting à un mode opératoire beaucoup plus opérationnel.

Le défi qu’il souhaite relever ? Répondre à la question :

Comment la stratégie de développement durable corporate essaie d’avoir une réalité dans un certain nombre de projets de l’entreprise, que ce soit dans l’immobilier ou l’aménagement, ou dans les infrastructures publiques (transports, barrages hydroélectriques, éoliennes, éclairage public,…) ?”

Et il y arrive ! Avec l’aide de sa direction visionnaire, il fait du Développement Durable et de la RSE un levier de différenciation pour le groupe sur les appels d’offres auxquels il répond. 

En devenant ensuite directeur adjoint du développement durable du groupe, Joachim travaille entre autres sur les premières DPEF (déclarations de performance extra-financière), pilote des stratégies du type biodiversité, résilience climatique, achats responsables, mais aussi des politiques D&I (diversité et inclusion) dans le champ social/sociétal.

Dernières expériences corporate avant de se lancer dans le conseil !

Par goût du défi, Joachim rejoint ensuite la filiale française d’Arcadis, société mondiale de conseil et d’ingénierie, afin d’y fonder l’activité de conseil corporate en développement durable. Il crée la ligne de services, les contours de la prestation et recrute les équipes, dans un environnement concurrentiel assez complexe marqué par des phénomènes de concentration.

Mais c’est sans compter sur sa bougeotte qui ne le quitte plus alors, et le pousse un an plus tard à rejoindre la division Concessions du groupe Vinci, n°1 mondial du BTP et des concessions, en tant que directeur adjoint Environnement, notamment sur les sujets aéroportuaires et autoroutiers.

C’est dans cette expérience qu’il participe à promouvoir une politique environnementale ambitieuse sur un plan de transition et de décarbonation tout à fait réaliste. Il découvre ainsi les politiques volontaristes d’un grand groupe engagé, et “à l’échelle” dans un environnement international, et qui permet de sentir un impact positif réel à son action Corporate.

Enfin, pour des raisons personnelles et de relocalisation, Joachim décide de se lancer dans le grand bain des freelances en proposant du conseil en RSE et transition écologique, et fonde le cabinet “Supplément d’âme” il y a 1 an. 

Supplément d’âme, vous avez la réf ? 

Celle de France Gall bien sûr, dans sa chanson “Ella, elle l’a”, mais surtout la référence au philosophe Henri Bergson et à son “Élan vital”. Cette dernière propose un retour à des fondamentaux autour de la morale et de l’éthique, dont s’empare Joachim surtout sur le volet du tout technologique : “comment et pourquoi faut-il interroger le progrès humain et la technologie ?”

Bref, Joachim aime les sujets qui questionnent le statu quo. Et aux débuts des années 2000 il comprend que la protection de l’environnement et la soutenabilité des activités humaines va en devenir un, notamment dans le monde de l’entreprise. C’est probablement là une part de son élan vital professionnel. 

Maintenant que les présentations sont faites, nous vous proposons de découvrir la définition de la RSE par Joachim.

“Pour moi, la RSE, c’est faire société dans la Société”

Il s’agit surtout d’aborder des questions essentielles : “Comment j’inscris mon entreprise dans une trajectoire au sein de la société, quel sens, quelle mission ? Est-ce que l’entreprise n’est faite que pour gagner de l’argent ?”

La réponse à cette dernière question est bien évidemment qu’elle l’est, oui, mais seulement en partie. La visée d’une entreprise devrait être bien plus ambitieuse que cela, et c’est ce qu’une démarche RSE permet d’embrasser !

Et cette idée ne date pas d’hier ! Des référentiels et standards ont vu le jour depuis les années 70, dans le but de structurer et harmoniser au maximum les définitions et manière de l’aborder. 

“La RSE, je dirais que c’est un référentiel qui permet de cadrer des actions, des politiques et des engagements. Elle est un moyen de répondre aux Objectifs du Développement Durable (ODD) de l’ONU.” 

La réglementation RSE et son vocabulaire

Justement, voici quelques sigles que vous avez sans doute déjà croisés, voire auxquels vous vous êtes peut-être déjà frottés ! 

  • ESG : sigle international utilisé principalement dans le secteur financier, qui propose des outils et critères sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance
  • Norme ISO26000 : bien qu’elle ne soit pas certifiante, elle est très importante et a été créée par un organisme international
  • ODD de l’ONU : intéressants pour parler des grands enjeux, mais difficiles de rendre concrets les engagements des entreprises. Il nous arrive cela dit de travailler avec ces ODD chez CAUSE, lorsque nos clients s’en sont emparés!
  • GRI : Global Reporting Initiative, permet d’organiser le reporting développement durable en termes de performance économique, environnementale et sociale.
  • CDP : très important à l’échelle mondiale sur le carbone et la trajectoire de décarbonation des entreprises (il note les entreprises comme les agences de notation)

Au-delà des référentiels cités, il en existe une multitude de sectoriels, thématiques ou privés. Leur point commun ? Ils traitent tous de la performance économique et de la plus-value sociale ou environnementale, avec des curseurs extra-financiers différents, et un objectif commun de soutenir la démarche RSE entamée.

Avez-vous déjà eu un doute sur le S de la RSE : Social ou Sociétal ?

Le pilier S peut en effet faire référence aux deux notions.

Lorsque l’on fait référence au Social, on traite du droit du travail, des collaborateurs, de leurs avantages, de leur participation à la stratégie et aux résultats, du partage de la valeur, de QVCT, de droit social, de diversité et d’inclusion ou encore de formation. 

C’est donc tout ce qui a trait à l’humain.

Le Sociétal répond quant à lui à l’enjeu d’interaction de l’entreprise avec la société : les partenariats, le mécénat financier ou de compétences, ou encore l’engagement de l’entreprise sur son territoire.

Par exemple, l’écologie industrielle consiste à aborder son activité par le prisme du local : j’utilise les déchets de mon voisin comme intrant pour mon activité, nous donnons ainsi naissance à un partenariat avec co-bénéfices, 

L’insertion des personnes éloignées de l’emploi est un sujet qui est souvent traité en premier lieu selon le prisme sociétal, avant de devenir un enjeu plus social au sein de l’entreprise. 

A noter que rares sont les entreprises à avoir créé une direction sociétale ! 

Souvent, ce “S” se retrouve embarqué au sein de la DRH ou des fois au sein des directions RSE. 

On en vient à la question que beaucoup d’entreprises se posent : est-ce que la RSE concerne toutes les entreprises, peu importe leur taille ou leur activité ?

Pour Joachim, c’est clair : “C’est oui, dès lors qu’il y a un ensemble de collaborateurs, un collectif forcément concerné par les évolutions du marché de travail et le dialogue social, les enjeux de gouvernance de l’entreprise, ou encore autour de l’attractivité des employeurs,… Il n’y a pas de sujet autour de la taille de l’entreprise”

La clé est de ne pas considérer la RSE comme un investissement ou un coût, mais bien comme un changement d’état d’esprit et de posture vis-à-vis du rôle de l’entreprise dans la Cité.

“L’argent ne peut pas être le seul driver, c’est une erreur de croire cela. Mais on a derrière nous un siècle d’hyper-financiarisation qui a dicté une direction bien spécifique laquelle se révèle parfois être une impasse, en termes de compétitivité par exemple. 

D’ailleurs, elle n’a pas toujours été la règle, il y a eu un courant capitalistique social pendant la deuxième moitié du 19e siècle, dans les grandes entreprises minières ou la métallurgie par exemple, … C’était un autre temps, avec ses difficultés c’est sûr, le paternalisme patronal n’était certainement pas la panacée, mais l’entreprise devait déjà naturellement s’organiser sur la RSE.”

Et c’est prouvé aujourd’hui : il y a une grande compatibilité entre RSE et rentabilité ! 

Seulement pour y arriver, il est sûr qu’il faut changer de logiciel, et penser à 3, 5 ou 10 ans, et non pas seulement au carnet de commande de l’année, même s’il reste important. 

Or, quel dirigeant d’entreprise se projette sur plus de 2 ans en réalité ? Il y a tant d’occasions, justifiées, de ne pas faire cet exercice, dans un monde où dominent la complexité et l’urgence.

Ok, toutes les entreprises sont concernées. Mais elles ne vont pas s’en emparer de la même manière, si ?

Pour les tous petits acteurs ou les créateurs d’entreprise

Il est rare que la RSE soit une préoccupation, surtout que les conseils sont souvent prodigués par les experts-comptables, encore très peu sensibilisés à une telle démarche. 

Cela étant, se poser quelques questions clefs telles que le dialogue social et le partage de la valeur, ou encore les relations avec ses parties prenantes, peut être tout aussi intéressant pour eux !

Pour les petites et moyennes entreprises

A partir d’une quinzaine ou vingtaine de collaborateurs, l’enjeu est déjà d’utiliser le “logiciel” de la RSE : à quoi sert mon entreprise, et quels co-bénéfices environnementaux, sociaux et sociétaux apporte-t-elle à travers ses activités ?

Les réponses seront précieuses pour créer un sentiment de fierté, de cohésion et de sens entre les collaborateurs et toutes les parties prenantes, et in fine pour le développement de l’entreprise.

“Bien sûr, le défi est déjà d’aller chercher le BFR, mais dans le BTP, secteur que je connais bien, il y a plein de petites entreprises qui ne cherchent pas à conquérir de nouveaux territoires, qui travaillent sur les projets publics locaux, font monter en compétences des gens du terrain, et se posent des questions sur leur impact territorial.”

Pour les grandes entreprises

La pratique de la RSE est cadrée par des référentiels plus ou moins exigeants pour ces entreprises, soumises à plusieurs réglementations, nationales mais aussi et surtout européennes, comme la CSRD, le devoir de vigilance, etc. 

Attardons nous un instant sur la réglementation RSE, notamment pour les ETI et +. Taxonomie verte, Pacte vert, directive CSRD, comment s’y retrouver quand son entreprise y est soumise ?

“La RSE a toujours été positionnée sur un point de bascule entre démarche volontaire et démarche réglementaire, la réglementation permet assurément de passer à l’échelle, quand le volontaire permet de tester, d’éprouver, d’adapter.”

Ces dernières années ont vu naître de nouvelles mesures et réglementations comme la loi Pacte en France (à ne pas confondre avec le Pacte vert européen – Green Deal), le devoir de vigilance, la CSRD, ou encore la toute récente CS3D. Mais aussi des principes fondamentaux de la protection sociale et environnementale, tels que le principe de précaution, le devoir de vigilance, le principe du pollueur payeur, le droit à la participation, …

Certes, les acteurs économiques peuvent avoir une sensation d’étouffement face à ces vagues qui déferlent vers eux, mais elles sont nécessaires pour aider ces mêmes acteurs à (re)passer à une vision long terme et saine. 

Et concrètement, que retenir de ces réglementations RSE ? 🙂

La Taxonomie verte 

Il s’agit d’un dispositif qui est intégré dans les exigences de divulgation d’informations de durabilité de la CSRD, mais qui est fondamental, car il révèle le lien entre le financier et l’extra-financier.

Quelles parts des activités, c’est-à-dire du chiffre d’affaires et des investissements sont “vertes” (durable) ou “brunes” (non-durables), selon une nomenclature imposée et réglée par l’Europe, avec des indicateurs techniques très précis et adaptés aux différents secteurs.

Cette taxonomie invite les acteurs économiques, et financiers, à favoriser le passage à une économie plus soutenable. Et ceci, parce qu’elle se base, via des critères techniques très précis, concernant l’état de l’ensemble des connaissances sur ce domaine, non pas d’aujourd’hui… mais de demain, c’est-à-dire dans 5 à 10 ans, incluant des améliorations des process, des procédés, des produits, parfois même en laissant la porte ouverte à des sauts technologiques.

Dès lors, c’est souvent un “crash test” plus ou moins bien vécu par les équipes qui s’en occupent. Les résultats d’aujourd’hui permettent de dresser un état des lieux à partir duquel les entreprises peuvent élaborer un business plan plus durable vertueux pour l’avenir, c’est-à-dire plus soutenable d’une part, et littéralement plus durable d’autre part.

Il s’agit au final d’un outil d’aide à la transition. Mais aussi à la gestion et au développement de l’entreprise, qui lui permet aussi de travailler efficacement sur l’évolution de ses offres.

A retenir

Même si l’entrée en matière est difficile, il s’agit d’un des outils les plus pratico-pratiques de la réglementation RSE !

La directive CSRD

Elle concerne 50 000 entreprises en Europe, à peu près 6 000 ou 7 000 en France.

Il s’agit d’un cadre imposé de reporting extra-financier pour pouvoir mieux comparer toutes les entreprises entre elles. Mais c’est également d’un outil de réflexion stratégique sur son modèle d’affaires de manière générale, sur le sens et la projection de l’entreprise. D’ailleurs, si vous souhaitez assister à une formation pratique sur le sujet, de type Masterclass en 2h30 / 3h, n’hésitez pas à contacter Joachim en indiquant CAUSE afin de bénéficier d’une remise !

L’outil central de la CSRD est l’analyse de double matérialité que l’entreprise doit conduire et exprimer. En croisant à la fois l’analyse des impacts de son activité sur l’environnement et la société (matérialité d’impact) et l’analyse des sujets ESG sur la performance de l’entreprise (matérialité financière). 

A retenir

La CSRD est clairement une démarche d’analyse stratégique pour une information extra-financière cohérente et transparente, là où la taxonomie est plus opérationnelle. 

Le Pacte vert

Signé en 2019, c’est un ensemble de dispositions et de réglementations européennes visant la réduction de 50% des émissions GES de l’Europe d’ici 2030, et dont la CSRD et la taxonomie verte font partie, afin de verdir in fine l’économie européenne. L’objectif affiché est d’emmener le continent européen vers le zéro carbone en 2050 pour respecter les Accords de Paris. 

A retenir

Il s’agit de la colonne vertébrale de la stratégie de la précédente mandature de l’Union Européenne, avec une portée géopolitique majeure entre blocs continentaux.

Le mot de la fin : pourquoi la RSE est une opportunité de développement pour toutes les entreprises ?

“Je pense que la RSE est essentielle, et qu’il faut militer pour sa juste place : rendre un modèle d’affaires résilient, et compétitif à terme

Il est vrai que la RSE devient extrêmement complexe pour un certain nombre d’entreprises, ce qui n’est pas illogique au vu des sujets traités, et cela freine malheureusement l’enthousiasme qui pourrait accompagner une telle démarche. 

De plus, si on s’en tient à la conformité ou la “compliance”, on risque de passer à côté de l’essentiel, notamment la mission et le sens “commun” que la RSE va permettre aux agents économiques de (re)trouver.

En effet, les entreprises peuvent travailler pour le bien commun, qui fait aujourd’hui si bien leur profitabilité via les ressources minérales, hydriques ou naturelles qu’elles exploitent. D’ailleurs, dans le concept des “communs” de la société médiévale il n’y avait pas de prédation. Il est possible de revenir sur cette notion de bien commun en lien avec la mission de l’entreprise. “

Or, on n’emmène pas un collectif au sein d’une entreprise si l’on ne propose pas un projet ni une vision !

Malheureusement, cette vision pêche souvent, et est rarement proposée pour un projet pour l’entreprise et ses parties prenantes, particulièrement dans un monde où les défis environnementaux, géopolitiques et sociaux et sociétaux sont nombreux. 

Aller, le tout dernier mot : Joachim et CAUSE, pourquoi ça marche ? 🙂

“C’est d’abord dans le nom de CAUSE que je me suis reconnu : la recherche d’une cause, la défense d’une cause, c’est très cohérent et ça correspond tout à fait à mon ADN, j’ai d’ailleurs souvent dit que je travaillais “pour la cause” au sein des entreprises où j’ai été.” 

Et oui, Joachim a toujours évolué entre les deux mondes : traître pour les ONG et activistes, ayatollah vert pour les entreprises. Mais a su en tirer une sorte d’équilibre subtil qui a été son moteur professionnel.

L’entente est ainsi arrivée immédiatement avec Melody, la fondatrice, et c’est tout naturellement que Joachim peut aujourd’hui travailler avec CAUSE sur des missions de RSE, de transition écologique et de stratégie environnementale des clients.

Pour conclure cet article, nous vous proposons un extrait d’une publication de Joachim sur LinkedIn qui traite d’un sujet qui nous est cher chez CAUSE, la Culture RSE. et sur lequel nous partageons une même vision : 

“La massification de la culture RSE via la sensibilisation, la formation et le management de la connaissance est absolument cruciale, particulièrement pour les dirigeants d’ETI et de PME !” 

Vous êtes en phase ? N’hésitez pas à nous contacter directement pour en discuter 😉 

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